Le chantier de l’école de la Glacière est entré dans une nouvelle phase.

Au cours du mois de février, les façades ont été réalisées, avec la pose d’enduits et de bardages en métal ainsi que des stores pour la protection solaire le long de baies vitrées.

Des panneaux photovoltaïques viendront compléter le soin apporté à l’isolation et au système de chauffage notamment. L’ancienne chaufferie fioul fait place à une chaufferie gaz performante. L’ambition du projet global est de faire baisser la facture énergétique actuelle de près de 40 %.

Prochaine étape importante : la livraison du bâtiment destiné aux élémentaires, qui devrait intervenir au cours du mois d’avril. Les élèves réintègreront leurs locaux entièrement refaits à neuf après les vacances de Pâques. Toutes les salles de classe ainsi que le rez-de-chaussée du bâtiment sont entièrement reconfigurés du sol au plafond.

De mars à juillet, les entreprises procéderont à la reconfiguration du bâtiment actuellement occupé par les élèves d’élémentaire pour l’accueil de ceux de maternelle.

À partir de juillet, les travaux concerneront la démolition de l'ancien bâtiment du restaurant et de l'ancienne maternelle puis l’aménagement des espaces extérieurs.

Les cours de récréation seront composées de différentes zones d'activités afin de créer plusieurs ambiances pour jouer, courir, s'asseoir à l’ombre, apprendre le jardinage… Celle de l’école maternelle, sans recoin, a été pensée afin de faciliter la surveillance des enfants.

Au niveau de la rue de la Glacière, un espace public avec des bancs et des plantations sera créé en remplacement du square Karl Gonser. Il fera office de parvis d’entrée sécurisée aux deux écoles.

Autre point important du projet, l’intégration de l’école dans le quartier. Cela passe notamment par la  réhabilitation du plateau sportif, qui redeviendra l'un des lieux de vie phares du quartier.

À la fin du chantier, le groupe scolaire occupera une superficie de 2 406 m², contre 1 886 m² auparavant.

Coût total du projet : 5,4 millions € dont 5,1 millions € financés par la Ville et 300 000 € par l’État.